Les droits de la langue

Pour les premiers colons en Alberta, le maintien de leurs droits linguistiques était important et valait la peine de garder. Malgré les efforts qui ont été fait pour conserver le bilinguisme dans le gouvernement provincial, leur lutte échoua. Des pertes ont eu lieu dans le système scolaire, et ce ne fut que récemment, suite au rapatriement de la constitution canadienne qu'il devint possible de regagner ce qui avait été perdu.

Législation

En 1891, l'Acte des Territoires du Nord-Ouest de 1875 est modifiée par le gouvernement fédéral donnant aux membres du conseil des Territoires le droit de passer leurs propres ordonnances. Ainsi ils pouvaient alors contrôler leurs dépenses publiques après avoir été vérifiées par le lieutenant-gouverneur. Jusqu'à ce moment, les territoires étaient officiellement bilingues.

Par contre, un grand nombre des colons, dont la majorité étaient anglophones, étaient bien étonnés d'apprendre qu'il y avait deux langues officielles et de la controverse.

L'anglais fut déclaré comme la seule langue officielle possible dans les tribunaux avec une ordonnance en 1981.

Un deuxième coup dur frappe les francophones de l'Ouest lorsque l'Ordonnance numéro 22 des Territoires du Nord-Ouest de 1891-1892 est acceptée.

Après 1891, l'anglais serait la seule langue d'enseignement dans les écoles. Le comité pouvait cependant permettre l'enseignement en français au niveau primaire.

Loi sur les langues officielles

En 1969, la loi sur les langues officielles a donné une source de financement pour les communautés francophones en situation minoritaire. Cela fut établi pour aider à protéger leurs droits linguistiques qui sont rudement éprouvés.

En Alberta, la loi scolaire en 1968 fut changée en 1968 :

Inspirés par le bilinguisme officiel, les parents inscrivent leurs enfants dans les programmes d'immersion.


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